Je sais cette phrase tirée d'une publicité pour une boisson française sucrée date un peu, bien qu'aujourd'hui la marque Tropico fait la une de l'actualité économique , puisqu'elle a été rachetée par le géant du soda "coca-cola" en septembre 2018. C'est grâce à cette soudaine mise en lumière que j'ai fait le rapprochement entre Le tropical et le tropico. Tiré par les cheveux? Non je dirais tiré à quatre épingles, british style of course. Tropico était du pur années 80 et c'est précisément ce qui nous amène à ce tissu nommé tropical.
Les britanniques expatriés dans leurs colonies situées dans les zones tropicales s'habillaient pour dîner, lorsqu'ils le pouvaient, afin de maintenir la tradition et de se sentir proche du pays. On imagine que le climat chaud et humide inciterait à faire tailler les vêtements dans des cotonnades ou du lin. Mais les britanniques sont intraitables lorsqu'il s'agit de faire bonne figure. Le tropical lainage léger était alors la référence pour les costumes masculins. Infroissable, léger, de belle tenue, il rendait le costume supportable sous toutes les latitudes.
En fait le tropical vous ne le trouverez plus dans les boutiques de tissu. En effet c'est l'ancêtre du tonic des années 80, de la cool wool qui vient quelques décennies plus tard et des désormais classiques super 100,120, 150 etc..
De plus en plus de légèreté voilà la demande d'une clientèle masculine désireuse d'associer élégance et confort.
C'était un tissu en laine peignée à deux brins sur-tordus Il était commercialisé en.uni, prince de galles ou chiné. La fraîcheur de cette étoffe était étonnante. J'utilise l'imparfait puisque le tropical ne se fabrique plus. Afin d'accroître le lustre il y eu un tropical mohair /mérinos. Ce dernier connu un grand succès. Les fabricants continuèrent à innover proposant des draperies comme le fresco. Ce dernier, était tissé avec un fil de laine à trois brins, donc un peu plus lourd que le tropical mais plus léger que la plupart des articles classiques.
Les britanniques expatriés dans leurs colonies situées dans les zones tropicales s'habillaient pour dîner, lorsqu'ils le pouvaient, afin de maintenir la tradition et de se sentir proche du pays. On imagine que le climat chaud et humide inciterait à faire tailler les vêtements dans des cotonnades ou du lin. Mais les britanniques sont intraitables lorsqu'il s'agit de faire bonne figure. Le tropical lainage léger était alors la référence pour les costumes masculins. Infroissable, léger, de belle tenue, il rendait le costume supportable sous toutes les latitudes.
En fait le tropical vous ne le trouverez plus dans les boutiques de tissu. En effet c'est l'ancêtre du tonic des années 80, de la cool wool qui vient quelques décennies plus tard et des désormais classiques super 100,120, 150 etc..
De plus en plus de légèreté voilà la demande d'une clientèle masculine désireuse d'associer élégance et confort.
C'était un tissu en laine peignée à deux brins sur-tordus Il était commercialisé en.uni, prince de galles ou chiné. La fraîcheur de cette étoffe était étonnante. J'utilise l'imparfait puisque le tropical ne se fabrique plus. Afin d'accroître le lustre il y eu un tropical mohair /mérinos. Ce dernier connu un grand succès. Les fabricants continuèrent à innover proposant des draperies comme le fresco. Ce dernier, était tissé avec un fil de laine à trois brins, donc un peu plus lourd que le tropical mais plus léger que la plupart des articles classiques.
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