L’idée est malheureusement trop confidentielle selon laquelle nos vêtements c’est à dire la matière des fibres textiles, la nature des teintures utilisées et leurs formes , ont une incidence heureusement modeste mais néanmoins réelle sur notre physique et notre mental.
Les méfaits de la « mal fringue » pourrons être selon les cas, indolores, insidieux ou violents allant jusqu’à provoquer une gêne au quotidien. Bien sûr nous pourrions continuer à « magasiner » sans nous soucier de l’origine des fibres, des substances chimiques plus ou moins nocives utilisées pour modifier les caractéristiques des étoffes, faciliter leur entretiens, améliorer leur solidité, leur octroyer des qualités supplémentaires comme l’imperméabilisation, mais voilà, une fois la boite de Pandore ouverte, il faut aller jusqu’au bout. Et si le choix judicieux d’une garde robe peut améliorer la vie pourquoi s’en priver ?
C’est en observant le changement des habitudes alimentaires des populations dans les pays industrialisés, après la crise de « la vache folle » que je me suis intéressée à ce sujet. Pourquoi prendre tant de précautions dans le choix de ce que l’on ingurgite pour nourrir son corps et prêter si peu d’attention à ce que l’on choisi pour le protéger ?
Le changement des habitudes vestimentaires devrait devenir une évidence pour le plus grand nombre.
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