Ceci est un billet d'humeur, et de mauvaise humeur.
Sommes nous vraiment adaptés à notre" mode" de vie? Le vêtement ne serait il pas plus un handicap qu'une aide? Nous avons à force de contraintes façonné notre corps à l 'image de la mode, c'est à dire déformé, affaibli, fragilisé, irrémédiablement dépendant du vêtement et des accessoires.
Un jour taille étranglée, le lendemain les jambes juchées sur des talons aiguille puis on passe au pantalon taille si basse que le slip devient un accesoire qui se montre et cela alterne, durant des siècles. Les excès vestimentaires on en trouve trace dans l'histoire de toutes les civilisations et cela pourra faire l'objet d'un autre message. Fashionista oui mais pour un soir parce que au quotidien notre corps s'épuise à force d'être protégé : la doudoune est une barrière contre le froid mais nous fragilise telle une canne. Notre squelette à besoin d'une aide extérieure pour tenir le choc de la chaleur, du froid, de la pluie ou du vent. Nos défenses naturelles n'étant déjà pas exceptionnelles, inutile aujourd'hui d'imaginer que nous soyons à même de marcher sans chaussures sur l'asphalte de nos rues, de faire un treck sans une veste en microfibres, d'affronter le soleil peau nue sans risques pour notre petite santé. Que pesons nous face à la nature ? Peanuts, cacahuete, rien ou pas grand chose, nous autres citadins serions nous capable de survivre dans la vraie nature? Pourquoi donc toutes ces émission où l'homme joue à Robinson Crusoé ? Ce sont des sur hommes, des surdoués qui réussissent ; pas le monsieur tout le monde ou la femme que l'on croise au supermarché poussant son caddie... Il faut s'entrainer pour participer à ce genre de combats ; d'abord une lutte avec la nature ensuite une confrontation avec les autres surentrainés. Nous n'avons plus les combats dans les arènes homme contre lion, mais femmes contre une colonie d'araignées, face à un crocodile affamé ? Cela ne tient il pas lieu de jeux aussi puérils? Qu'attendent les téléspectateurs si ce n'est une montée d'adrénaline lorsque le canditat quasiment nu doit se proteger d'une nature hostile, pleine de ronce, de moustiques, de chaleur....Un dicton circule depuis des décennies : en avril ne te découvre pas d'un fil ? Et pouquoi donc, parce que nous avons trop chouchouté notre corps, et qui trop embrasse mal etreint...
Nos pieds sont meurtris d'avoir pataugés toute une journée dans des chaussettes humides, d'avoir dû rentrer avec le chausse pied dans des chaussures trop étroites mais tellement trendy... Nos épaules sont fatiguées d'avoir supportées le poids d'un manteau et la liste est longue, longue, longue. Aussitot rentré à la maison, le premier geste est de nous défaire de nos vêtements de glisser ses pieds dans de délicieux chaussons, de passer un t shirt, avant toute chose, en tout cas voila ce que moi je fais, et je ne pense pas être la seule.
Une solution miracle, non. Mais une solution quand même, audacieuse peut être, mais la saison s'y prête, le printemps montre le bout de son nez, et la nature renait, l'herbe tendre, les bourgeons vont éclorent, nous voilà au moment des bonnes résolutions. Attention aux achats coup de cœur et crève cœur. A la sortie de l'hiver on se précipite peut être trop facilement dans les rayons mode, attirants, séduisants, trompeurs... Ne nous laissons pas bluffer par la couleur, l'imprimé, la legereté des matières.
Soyons gourmands de nouveautés mais soyons des gourmets, selectionnons nos achats, raisonnés ou non mais, s'il vous plait, ne prenez plus votre corps pour ce qu'il n'est pas. Habillez vous sainement au quotidien, et selon vos activités trouvez ce qui vous permettra de passer une journée toute entière sans penser à vous libérer de vos vêtements, et sourtout ni trop chauds, ni trop légers, ni trop hauts, ni trop serrés. Adaptez vous au climat et choisissez des formes fonctionnelles pour le quotidien. Essayez ce test 100% eficace : vous n'avez pas envie de vous changer en rentrant chez vous après12 heures passées dans votre "habitacle" alors bravo vous êtes sur la bonne voie. Gardez les excès vestimentaires pour les événements plus exceptionnels.
Sommes nous vraiment adaptés à notre" mode" de vie? Le vêtement ne serait il pas plus un handicap qu'une aide? Nous avons à force de contraintes façonné notre corps à l 'image de la mode, c'est à dire déformé, affaibli, fragilisé, irrémédiablement dépendant du vêtement et des accessoires.
Un jour taille étranglée, le lendemain les jambes juchées sur des talons aiguille puis on passe au pantalon taille si basse que le slip devient un accesoire qui se montre et cela alterne, durant des siècles. Les excès vestimentaires on en trouve trace dans l'histoire de toutes les civilisations et cela pourra faire l'objet d'un autre message. Fashionista oui mais pour un soir parce que au quotidien notre corps s'épuise à force d'être protégé : la doudoune est une barrière contre le froid mais nous fragilise telle une canne. Notre squelette à besoin d'une aide extérieure pour tenir le choc de la chaleur, du froid, de la pluie ou du vent. Nos défenses naturelles n'étant déjà pas exceptionnelles, inutile aujourd'hui d'imaginer que nous soyons à même de marcher sans chaussures sur l'asphalte de nos rues, de faire un treck sans une veste en microfibres, d'affronter le soleil peau nue sans risques pour notre petite santé. Que pesons nous face à la nature ? Peanuts, cacahuete, rien ou pas grand chose, nous autres citadins serions nous capable de survivre dans la vraie nature? Pourquoi donc toutes ces émission où l'homme joue à Robinson Crusoé ? Ce sont des sur hommes, des surdoués qui réussissent ; pas le monsieur tout le monde ou la femme que l'on croise au supermarché poussant son caddie... Il faut s'entrainer pour participer à ce genre de combats ; d'abord une lutte avec la nature ensuite une confrontation avec les autres surentrainés. Nous n'avons plus les combats dans les arènes homme contre lion, mais femmes contre une colonie d'araignées, face à un crocodile affamé ? Cela ne tient il pas lieu de jeux aussi puérils? Qu'attendent les téléspectateurs si ce n'est une montée d'adrénaline lorsque le canditat quasiment nu doit se proteger d'une nature hostile, pleine de ronce, de moustiques, de chaleur....Un dicton circule depuis des décennies : en avril ne te découvre pas d'un fil ? Et pouquoi donc, parce que nous avons trop chouchouté notre corps, et qui trop embrasse mal etreint...
Nos pieds sont meurtris d'avoir pataugés toute une journée dans des chaussettes humides, d'avoir dû rentrer avec le chausse pied dans des chaussures trop étroites mais tellement trendy... Nos épaules sont fatiguées d'avoir supportées le poids d'un manteau et la liste est longue, longue, longue. Aussitot rentré à la maison, le premier geste est de nous défaire de nos vêtements de glisser ses pieds dans de délicieux chaussons, de passer un t shirt, avant toute chose, en tout cas voila ce que moi je fais, et je ne pense pas être la seule.
Une solution miracle, non. Mais une solution quand même, audacieuse peut être, mais la saison s'y prête, le printemps montre le bout de son nez, et la nature renait, l'herbe tendre, les bourgeons vont éclorent, nous voilà au moment des bonnes résolutions. Attention aux achats coup de cœur et crève cœur. A la sortie de l'hiver on se précipite peut être trop facilement dans les rayons mode, attirants, séduisants, trompeurs... Ne nous laissons pas bluffer par la couleur, l'imprimé, la legereté des matières.
Soyons gourmands de nouveautés mais soyons des gourmets, selectionnons nos achats, raisonnés ou non mais, s'il vous plait, ne prenez plus votre corps pour ce qu'il n'est pas. Habillez vous sainement au quotidien, et selon vos activités trouvez ce qui vous permettra de passer une journée toute entière sans penser à vous libérer de vos vêtements, et sourtout ni trop chauds, ni trop légers, ni trop hauts, ni trop serrés. Adaptez vous au climat et choisissez des formes fonctionnelles pour le quotidien. Essayez ce test 100% eficace : vous n'avez pas envie de vous changer en rentrant chez vous après12 heures passées dans votre "habitacle" alors bravo vous êtes sur la bonne voie. Gardez les excès vestimentaires pour les événements plus exceptionnels.
Vaste sujet, traité avec humour et conviction. Attendons la suite avec curiosité.
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